(Crédit Photo : De Fursac)

La Souterraine peut s’enorgueillir d’une riche histoire industrielle, empreinte d’une réelle tradition ouvrière; dès 1962 avec SOCOMEC (successivement SEPESA, WAGON, SONAS, HALBERG puis récemment ALTIA) ou encore MONSIEUR DE FURSAC. Cette marque fût fondée en 1973 par les frères Laufer, qui disposaient à l’origine d’un site de production de pantalons à Saint-Etienne-de-Fursac (23) sous l’enseigne FIRST LUXE. Quant à l'usine de pantalons créée dans la zone industrielle du Cheix, à la Souterraine (23), cette dernière a compté jusqu’à 120 salariés.

Pour ceux qui auraient pensé l’enseigne moribonde… C’était sans compter sur l’opiniâtreté d’Edmond Cohen qui la rachète en 1990 puis la rebaptise «DE FURSAC» en 1999.

2003 marque ensuite un réel virage, avec des collections qui montent en gamme. La marque pratique également le Cobranding en s’associant avec de grands drapiers italiens tels CERRUTI, LORO PIANA ou encore ALBINI…

D’une griffe classique proposant d’élégants costumes masculins, De Fursac devient alors une référence de qualité, d’élégance à la française et fait rayonner sa nouvelle signature « De Fursac, La French Etiquette » dans ses boutiques (dont certaines situées sur des artères prestigieuses de Paris: Avenue de l’Opéra, Boulevard Saint-Germain, Rue Richelieu…) et également à l’international.

A la tête du studio de création, Deborah Taïeb, fille d’Edmond Cohen a succédé à Julia Smith. Malgré une conjoncture délicate, ponctuée de quelques remous, DE FURSAC ne tangue plus et tient fermement le cap (à l’image des basketteurs français de la NBA , Tony Parker et Boris Diaw, représentants de la Griffe de l’homme dès 2006).

A noter qu’Edmond Cohen a conservé une plateforme logistique, à La Souterraine Rue Malherbaud (qui était en 1973 une usine de pièces à manches avec 240 salariés); preuve de son attachement à notre région.

Un petit bonjour à Barbara Curto, Frédérique Cheylan, Joëlle Traineau et un petit clin d’œil personnel à Edmond Cohen

Et… BRAVO à tous ceux qui ont contribué et contribuent encore à ce que DE FURSAC incarne plus que jamais, l’élégance à la française.

http://www.defursac.fr

http://www.defursac.fr/news.php

http://www.defursac.fr/fr?utm_source=splio&utm_medium=email&utm_campaign=Film17E

(Crédit Photo : Eric Doll - www.tri-yann.com)

1995… Création de notre Confrérie… Puis rapidement germe l’idée de trouver une chanson festive qui rassemble… Notre choix se porte alors naturellement sur «Chanson à boire» du groupe nantais TRI YANN. Echange de télécopie avec Jean-Paul Corbineau le 28 juillet 1996… Et l’adoption au sein de notre Confrérie est unanime.

Tri Yann est le groupe français ayant la plus grande longévité, formé le 27 décembre 1970 par Jean-Louis Jossic, Jean Chocun et Jean-Paul Corbineau. L’origine de ce nom (Tri Yann an Naoned) signifie «les trois Jean de Nantes». TRI YANN, ce sont des airs traditionnels comme La jument de Michao, Les filles des forges ou Dans les prisons de Nantes…

Comment ne pas être charmé par le créatif de leurs compositions, l’originalité de leurs mises en scène, et des concerts endiablés où les guitares électriques côtoient les bombardes et les cornemuses… Nous sommes nombreux à aimer ce «folk celtique acoustique qui s’est électrifié et s’est nourri aux sonorités médiévales et baroques» comme le décrit si bien Eric Doll, webmaster et photographe du Groupe.

Longue vie à Gérard Goron, Konan Mevel, Jean-Louis Jossic, Jean Chocun, Jean-Paul Corbineau, Jean-Luc Chevalier, Fred Bourgeois, Christophe Peloil,… Sans oublier l’équipe technique et tous ceux qui, un jour, ont participé à l’épopée de ce groupe de légende. http://www.tri-yann.com Petit clin d’œil à Jean-Paul Corbineau qui m’avait adressé voici longtemps, les paroles de cette chanson devenue notre hymne, à Jean Chocun avec lequel j’ai échangé tout récemment et à Eric Doll, pour son appui.
D’ailleurs, allez faire un tour dans l’univers d’Eric!
http://www.ericdoll.com